Dans le cours des choses,
Quand tu rames un peu,
Le mieux c’est de hisser les voiles … vers des eaux plus douces et clément … clémentes
Et de regarder vers l’horizon … les pieds dans le bouillon de vie, faire le vide
Prendre du temps que pour soi … se reposer « tranquillement » …enfin, du moins, essayer !
T’es bien caché? Tu le crois???Pas moyens de siester tranquille ! bien tenté le camouflage!
Les rires éteignent les sommeils !
Et pourtant, ne s’avouant pas vaincu, une nouvelle tentative …
eh non c’est encore raté! Voilà qu’on nous badigeonne de crème solaire pour protéger du soleil!
Parfois il faut savoir recharger ses batteries, quand elles sont à plat!

Dans ces moments, il est aussi important d’avoir un regard curieux sur le monde qui nous entoure, ses couleurs, ses saveurs, ses odeurs … partir à la découverte … voir que la beauté nous entoure, aussi et surtout, …
les douceurs de vivre sont partout, loin des feux …
Et chanter, danser, garder le rythme et le tempo de cette vie qui nous entraine, de cette valse à milles temps …
333 fois le temps de bâtir nos romans
Faire taire la cacophonie de la tristesse et laisser fredonner le chant des cigales, des joyeux …
Trop fragile et incohérente pour être autre chose qu’un poème
Que finalement la lumière se cache partout,
Seule la lumière permet à l’obscurité d’exister
même si l’obscurité est parfois terrifiante, et longue avant d’apercevoir les lueurs
Qu’il y a toujours des petites mains autour de nous pour nous tenir la main…
que nos mains prennent d’autres mains pour les accompagner dans leurs découvertes
qu’ils ont besoin de nous
Qu’avec rien, on peut se protéger, un peu, des soleils trop forts et des pluies battantes
se rendre compte que nous sommes si peu de choses, et que nos essentiels sont notre amour et notre tendresse les uns envers les autres …
qu’un jour, nous ne seront que des os et que l’important est là dans le présent
que finalement, dans ce ramassis d’incertitudes que nous offre la vie
une seule chose semble presque sûre, nous avons besoin d’amour, d’en donner et d’en recevoir
que finalement, dans ce ramassis d’incertitudes et dans ce monde d’incohérences
il faut être assez couillu pour y croire, croire en ceux qui s’aime la tendresse
croire qu’ils seront plus brillants que ceux qui veulent éteindre les lumières …
Ce soir Paris est sous une pluie de larmes, hier Beyrouth
mais de grandes parties de ce monde, sont sous les rayons d’un soleil …
Fuyons les pluies …
merci pour cet hymne a la vie et a l’espoir
Merci merci….je n’ai jamais autant apprécié votre blog! Je vous aime
émouvant ce texte commentant ce beau reportage d’images colorées. On ne peut qu’y croire ! merci pour nous tous.
nous avons envie de nous laisser bercer…. continuez à nous et vous rendre heureux. à très bientôt.
Ha, que dire après tant de beaux mots, tant de belles images (normal il y en a de moi !!!!).
Rien qui ne soit vraiment à la hauteur !
La barre est vraiment très haute et je ne peux qu’être admiratif, touché, émerveillé, amoureux, sensible, réjoui, heureux, contemplatif, éberlué, enthousiaste, fier, étonné, ex et tes rats, ex et tes rats, dire que je mets sur mon face de bouque » d’une chenille à un papillon », et vous « d’un papillon à une étoile » !!! voila, la différence est là !!!!! vous flirtez avec le merveilleux qui brûle,
« Brûle encore, bien qu’ayant tout brûlé
Brûle encore, même trop, même mal
Pour atteindre à s’en écarteler
Pour atteindre l’inaccessible étoile », mais que mon étoile, que notre étoile (…..) c’est VOUS !!!